mercredi 22 juin 2011

LE CAVALIER DE LA MORT

(Man in the saddle). 1951.  USA. En couleurs.
Un film d'André de Toth.
Avec Randolph Scott (Owen Merritt), Joan Leslie (Laurie), Ellen Drue (Nan), Alexander Knox (Will Isham), Richard Robler (Fay Dutcher) et John Russell (Clagg).


Un livre, un film.

LE RESUME:
Owen Merritt est un honnête propriétaire terrien. Il possède un troupeau modeste. Mais près de chez lui , il y a le ranch Skull, une énorme propriété. Son patron est Will Isham, un homme sans scrupule qui osera tout pour arriver à ses fins.
Isham va epouser Laurie, la femme qu'aime Merritt. Laurie a attendu en vain que Merritt se décide à lui demander sa main... sans succès.
 Isham a engagé Fay Dutcher, un redoutable pistolero pour faire pression sur les ranchers de la région, pour qu'ils vendent leurs biens.
Seul Merritt résiste, mais un soir que toute l'équipe bivouaque près du troupeau, un des hommes de Merritt est lachement assassiné. Le bétail prit de panique s'éparpille dans la nature.
Merritt après avoir essayer de calmer les esprits, juge que ça a trop duré, il veut réclamer des comptes et se venger.

Bientôt engagé chez Sebastien dans " le plus grand cabaret du monde" ...

Randolph Scott à choppé "la grosse tête".

LA CRITIQUE:
S'il ya bien un acteur qui a consacré sa carrière au western, c'est Randolph Scott. Il jouera dans une trentaine de films du genre. Pourtant le grand public a oublié cette star des années 50. On entendra à nouveau parler de lui dans les années 90, puisque plusieurs biographes jurent qu'il formait un couple avec Cary Grant. En tout cas il y a peu de films ou il a "impressionné la pellicule". Le cavalier de la mort ne déroge pas à la règle. C'est un honnête film, malheureusement sans surprise et accumulant les clichés... si l'on excepte le chapeau a drôle de rebord de Scott et l'habit du méchant (Dutcher) visiblement volé dans la penderie de... Louis Mariano... Convenons en , on a pas grand chose à se mettre sous la dent.


LA NOTE: 11/20
LE PLUS: La chanson titre du film "Man in the saddle", que l'on entend dans le générique du début et pendant le film, autour d'un feu de bois...
LE MOINS: Randolph Scott est vraiment agaçant dans ce film... Difficile de dire pourquoi.
L'ANECDOTE:  André de Toth avait d'autres cordes à son arc que celle de réalisateur, puisqu'il aimait la peinture. Il exposa en 1983 à Los Angelès.

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LE SHERIF

(The proud ones). 1956. USA. En couleurs. Une distribution Twentieh Century Fox. Un film de Robert D. Webb Avec: Robert Ryan ...............